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«Aujourd’hui, le régime se moque des pressions internationales, juge Penelope Faulkner du Comité Vietnam pour la défense des droits de l’homme. S’ils ne craignent pas trop ce que pourraient dire les Occidentaux, ils savent également que ces derniers veulent faire des affaires avec le Vietnam. Tout cela est très similaire avec ce qui se passe en Chine.» Ce ne sont pas les timides rappels à l’ordre de l’Union européenne qui devraient empêcher la «police vietnamienne de forcer la dose» contre les opposants, se désole Pham Minh Hoang. Le dissident ne se voit pas revenir de sitôt au Vietnam.
Arnaud Vaulerin
correspondant en Asie
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